qui revenaient sans cesse comme une rafale qui suivait une ligne continue selon les moments qui organisaient sa vie.
EQUAL BUT DIFFERENT
JE TE VOMIS
AVEC TES TESTICULES
Alors… je ne te plaîs pas ? Pourquoi ne pas m’accorder UN SEUL contact physique ? EN TOUTE AMITIE. Moins qu’un chien ! C’est ça, je suis moins qu’un chien ! Allez, vas-y, explique-toi MAINTENANT sinon après ce sera TROP TARD, parce que je vais finir par te raccrocher à la gueule et te faire fermer ton petit clapet de SALOPE, putain d’égocentrique de mes deux, oui parce que j’en ai DEUX DE GROSSES BOULES ! Et MES BOULES, mes DEUX GROSSES BOULES, elles sont PLEINES A CRAQUER et faudrait que je les vide là avant que ça EXPLOSE. Mais peut-être bien - se dit-elle - qu’un renversement de situation allait intervenir et qu’elle allait dégainer son katana ou son couteau le plus aiguisé soit-il pour les lui TRANCHER ses DEUX GROSSES BOULES et les faire fondre dans de l’acier afin de jouer une PARTIE DE PETANQUE avec : que ça COGNE, que ça CLAQUE et qu’elle L’EMPORTE.
s'accommoder
de la réalité
celle de ne plus
être aimée de la même façon